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Et comment l’effet vitrine nuit autant aux clients qu’aux vrais experts?
Il arrive encore — trop souvent — que des entreprises se félicitent d’avoir trouvé un consultant « parfait sur le papier ». Beau CV, références prestigieuses, discours fluide. Et pourtant, quelques mois plus tard, le projet s’embourbe, les équipes internes décrochent, et les objectifs s’évaporent. Ce n’est pas un cas isolé. C’est devenu un symptôme d’un mal plus profond : la mauvaise sélection des consultants.
L’effet vitrine : quand le prestige prend le pas sur la pertinence
Dans une époque où les apparences comptent plus que jamais, l’univers du conseil n’échappe pas à la règle. Certains consultants construisent une vitrine redoutablement efficace : logos de grands groupes, storytelling LinkedIn affûté, jargon maîtrisé à la perfection.
Le problème ? Cette vitrine séduit… mais elle n’assure pas l’adéquation avec le terrain. Des entreprises, pressées ou peu accompagnées, valident alors des profils brillants mais déconnectés de leur culture, de leurs enjeux ou de leur maturité réelle.
On confond alors le bon communicant avec le bon intervenant. Et la désillusion ne tarde pas : livrables standardisés, peu d’engagement réel, aucune adaptation au contexte.
L’oubli du terrain : pourquoi beaucoup de missions échouent dès la phase de cadrage
Le vrai problème n’arrive pas en milieu de projet. Il commence au début. Tout commence souvent par un brief imprécis ou politiquement orienté.
Au lieu d’un vrai diagnostic, on cherche un exécutant conforme à l’idée préconçue de la solution.
Le consultant, parfois par confort ou stratégie commerciale, entre dans ce jeu. Le cadrage est flou, l’objectif est mouvant, la réalité terrain est ignorée.
Les premiers ateliers tombent à plat, l’engagement des parties prenantes s’effrite, et la mission perd rapidement son élan initial. Ce n’est pas un problème d’intelligence. C’est un problème de courage. Celui de dire : « ce que vous demandez n’est pas ce dont vous avez besoin. »
Le décalage culture/consultant : un tabou trop fréquent
Ce que beaucoup d’acteurs n’osent pas dire, c’est que le problème ne vient pas toujours du livrable.
Il vient souvent de la posture. Certains consultants, habitués à un niveau de discours très théorique ou à une posture descendante, ne parviennent pas à créer l’adhésion.
Leur présence est vécue comme un audit, pas comme un accompagnement. Résultat : résistance, méfiance, inertie. Et un projet qui s’enlise, faute de dynamique collective.
Le conseil efficace, ce n’est pas « délivrer » un savoir. C’est mettre en mouvement, co-construire, écouter, ajuster.
Or, cela exige autre chose qu’un joli parcours. Cela exige une vraie intelligence relationnelle.
Quand les meilleurs consultants fuient les missions bancales
À l’inverse, les consultants les plus expérimentés développent rapidement un instinct très sûr.
Ils sentent quand le terrain est instable, quand le sponsor n’est pas engagé, quand les conditions de réussite ne sont pas réunies.
Et ils déclinent. Pas par arrogance. Mais parce qu’ils savent que leur réputation et leur énergie ne se gaspillent pas.
Ils préfèrent attendre une mission exigeante mais alignée, plutôt que de s’enfermer dans un projet mal préparé.
Ce réflexe, loin d’être élitiste, est devenu une nécessité. Parce qu’un vrai expert n’a pas le luxe de faire semblant. Et parce que le projet mal cadré abîme tout le monde : l’entreprise, les équipes, et l’intervenant.
Comment Advance remet les fondamentaux au centre
Advance Consulting est né de cette double frustration :
Celle des entreprises qui ne trouvent pas de partenaires à la hauteur,
Et celle des consultants qui ne veulent plus être réduits à une fiche de mission.
Notre méthode repose sur plusieurs piliers :
🎯 Un cadrage exigeant en amont, pour clarifier les enjeux réels,
🧠 Une sélection fine de nos experts, fondée sur leur posture, leur capacité à collaborer, leur esprit critique,
🤝 Un accompagnement de bout en bout, pour sécuriser la mission et ajuster si nécessaire,
🌐 Une culture de la communauté, qui permet aux consultants de ne jamais être seuls et de progresser en collectif.
Advance n’est pas un marché de profils. C’est un écosystème de talents.
Et cela change tout.
En bref - Sortir du piège du consultant-objet
Il est temps de sortir du cycle « profil brillant – mission ratée – consultant blâmé ».
Le conseil ne doit pas être un jeu de casting, mais un acte de transformation engagé.
Chez Advance, nous refusons les postures creuses et les fausses promesses.
Nous travaillons avec des experts qui savent dire non, poser les bonnes questions, et créer les conditions du changement réel.
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